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[#SERIE] Profession : Avocat Entrepreneur #1

Profession : Avocat Entrepreneur – La définition de son offre – #1

A l’occasion d’une série de plusieurs articles, Maître Chloé Schmidt-Sarels, utilisatrice de Jarvis Legal, nous raconte sa vision de l’avocat, entrepreneur avant tout. 

avocat entrepreneur

Présentation et introduction de Maître Chloé Schmidt-Sarels.

Diplômée du CAPA en 2012, je ne souhaitais pas du tout exercer en tant qu’avocate. J’ai donc démarré ma carrière professionnelle en tant que responsable juridique d’une start-up.

Après une expérience très enrichissante un besoin d’autonomie et une certaine nostalgie pour le droit public m’ont amenée à m’installer en tant qu’avocate libérale.

Mais que faire ? N’étant jamais passée par la case collaboration, j’ai malgré tout eu cette idée folle de m’installer directement à mon compte.

Les quelques stages que j’avais effectués lors de mes études à Paris étaient bien éloignés de ce qui m’attendait en tant que néo avocate dans une ville que l’on pouvait qualifier de désert judiciaire et au sein d’un tout petit barreau (100 avocats soit 300 fois moins qu’à Paris : un autre monde !).

Pas d’expérience, pas de clientèle, pas de réseau : allais-je faire partie de ces avocats qui raccrochent la robe au bout d’un an ?

Pour m’en sortir, j’ai forcément du sortir les rames et adopter en quelque sorte une démarche entrepreneuriale.

Même si cela tend à changer, je regrette que ce qualificatif d’entrepreneur ne soit pas forcément dans l’ADN de notre profession.

Il semblerait cependant que ce soit l’un des secrets de la réussite de nos confrères et consoeurs aînés. C’est ainsi que Corinne Lepage a répondu à un journaliste qui lui demandait s’il fallait gérer son cabinet d’avocat comme un chef d’entreprise, qu’elle ne savait « pas comment font ceux qui ne le font pas ».

Cette phrase m’a fait tilt et m’a un peu guidée.

C’est pourquoi, je suis heureuse de pouvoir partager mon expérience en tant qu’avocate entrepreneuse.

Je vous propose donc une série d’articles qui j’espère vous permettront de réussir votre installation, que vous ayez été ou non collaborateur.

Je vous partagerai donc mes états d’âmes et mon état d’esprit , la manière dont j’ai défini mon offre, les leviers de communication, les outils de gestion qui me facilitent le quotidien et la manière dont je gère la partie finances et administrative.

Définir son offre, la première étape indispensable. 

« Tu verras, ce seront les clients qui te choisiront », « Tu vas être obligée de prendre tous les dossiers qui viennent ». Voilà les propos bienveillants et/ou inquiets que des confrères m’ont tenus.

Malgré ma faible expérience, je savais pourquoi j’avais fait du droit. Je savais aussi ce que je ne pouvais et surtout ne voulais pas faire. Il était pour moi hors de question de m’orienter vers les droits pénal, commercial, travail.

Je ne m’étais pas installée en tant qu’indépendante pour que mes clients me dictent mes choix.

Je me suis donc dit que je ferai tout pour que les dossiers traités me correspondent et que mon activité ne soit pas modelée par mes clients mais modelée par moi, au service de mes clients. J’ai donc décidé, étape par étape.

Les premières questions à se poser sont : « qui suis-je et qu’est-ce qui m’anime ? quelle est ma formation initiale ? ».

Qui suis-je ? Qu’est-ce qui m’anime ?

L’idée d’exercer en droit de l’urbanisme et de l’environnement s’est rapidement imposée à moi.

Peu avant mon installation dans cette petite ville située en zone semi-rurale en proie à une urbanisation massive, j’avais eu une prise de conscience écologique forte et opéré un virage (presque) zéro déchet dans mon quotidien.

En tant qu’avocats, dans tous les domaines, nous avons cette chance de pouvoir nous mettre parfois au service de causes (ou de personnes) qui vont donner davantage de sens à notre métier.

Chacun d’entre nous a forcément quelque chose qui lui tient à coeur et qui pourrait imprimer une couleur particulière à au moins une partie de son activité en lui permettant de se différencier. Au passage, cette cohérence est un bon moyen pour être plus heureux au quotidien et plus efficace 🙂

Quelle est ma formation initiale ? Dois-je approfondir certains aspects ?

Jusqu’au master, nous sommes tous généralistes. Nous nous spécialisons un peu lors du master. De toute évidence, ma formation en droit administratif général, suivie 6 ans auparavant, ne suffirait pas à me permettre d’exercer en droit de l’urbanisme et de l’environnement.

Dès mon installation, j’ai donc décidé de me former en droit rural en passant un diplôme universitaire puis d’aller plus loin en suivant un deuxième master 2 en droit de l’urbanisme et de l’environnement.

Ces formations m’ont donné confiance en moi, m’ont ouvert de nombreuses portes et m’ont fait rencontré des personnes formidables.

Différenciez-vous

Une offre précise et spécialisée vous distingue. Elle vous rassurera autant qu’elle rassurera le client.

Le temps des avocats généralistes est révolu. La concurrence accrue et la technicité croissante de nombreuses matières ne le permettent tout simplement plus.  N’oublions pas que les dossiers que nous acceptions engagent notre crédibilité et notre responsabilité vis-à-vis du client.

Une fois la « dominante » définie pour l’activité de votre cabinet, allez plus loin, détaillez-la : par type de dossier (conseil ou contentieux), par type de clients (entreprises, particuliers, collectivités, associations…).

Nous avons la chance d’être indépendants. Profitons de cette chance pour choisir le domaine qui nous correspond le plus et qui nous anime.

Evidemment, il s’agira ensuite de s’assurer que votre envie réponde à une demande ou à besoin! J’en parlerai dans mon prochain article.

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Avvocato e telelavoro? Sì, è possibile, ma non in ogni caso!

Telelavoro e Avvocato, compatibili e altro ancora se di affinità.  

Fino a pochi mesi fa, avvocato e telelavoro non erano due parole che pensavamo di dover associare. Un avvocato lavora nel suo ufficio, non importa quanto grande o piccolo sia, è in ufficio. Tuttavia, da marzo, la crisi di Covid19 ha portato alla luce una pratica già in atto presso una maggioranza di avvocati che si occupavano inconsapevolmente di telelavoro, spesso trattando i loro casi la sera, nei fine settimana o la mattina presto, da casa, senza alcun software legale che li aiutasse.

Il telelavoro, meno vincolato rispetto ad altre professioni, comincia ad attrarre sempre più avvocati, a partire dai più giovani. Due sono le ragioni di questo cambiamento, già percepibile prima di marzo e ancora di più da allora: una vita personale già fortemente digitalizzata e un più precario equilibrio personale/professionale.

Secondo un’indagine condotta dai nostri team quest’estate, il 75% degli avvocati prevede di iniziare a lavorare nel proprio studio nei prossimi mesi e per il 25% di essi per più di 2 giorni a settimana.

Ma, chi dice lavoro a distanza, dice adattamento dei suoi strumenti di lavoro.

Un portatile, naturalmente, ma anche l’utilizzo di nuovi strumenti di comunicazione e di condivisione delle informazioni. Naturalmente, in questo settore esistono già strumenti per il grande pubblico: WhatsApp per scambi rapidi con i clienti, l’utilizzo di drive per la registrazione e lo scambio di documenti, videoconferenze per compensare l’assenza di incontri faccia a faccia (Zoom, Skype, ecc.).

Sì, ma che dire della sicurezza dei dati e del rispetto della RGPD riguardo a questi strumenti accessibili a tutti? Uno strumento specifico per gli avvocati non sarebbe più adatto e più sicuro? Non sarebbe più facile usare un unico strumento « multi-tasking »? Per non parlare del tempo risparmiato e della maggiore facilità di organizzazione e quindi di gestione dell’orario di lavoro?

Il punto di vista di Jarvis sul telelavoro

Jarvis ha anticipato tutti questi aspetti per sostenere al meglio la professione e assicurarla in questo nuovo modo di lavorare. Un nuovo modo di lavorare da qualsiasi luogo come se fossi nel tuo ufficio.

Come? Nel modo più semplice possibile grazie alle sue soluzioni web complete. Meglio. Ora è possibile lavorare localmente anche offline con il Jarvis box. Non appena trovate una connessione, tutti i dati vengono sincronizzati con il vostro cloud.

Infine, Jarvis è anche uno strumento di videoconferenza sicuro per garantire la riservatezza dei vostri scambi con i vostri clienti, rendendo la sua offerta un pacchetto completo che riunisce in un unico strumento tutti gli usi del lavoro a distanza.

E perché l’essere umano rimane al centro delle nostre preoccupazioni, ancor più in questi tempi di « smaterializzazione », e perché è importante per noi mantenere una forma di rapporto relazionale al centro della nostra e della vostra attività, Jarvis è anche e soprattutto un team che rimane a vostra disposizione per sostenervi in questa nuova transizione e in questo nuovo modo di lavorare.

È l’uso di tutte le sue funzionalità attorno ad un team al vostro servizio che fa di Jarvis un pioniere dell’azienda virtuale.

Questa è la ricetta « Jarvis » per promuovere l’equilibrio personale e professionale della vita, per limitare i rischi per la salute e per risparmiare tempo e ridurre la fatica (viaggi, ecc…). 

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¿Abogado y teletrabajo? Sí, es posible, pero no de cualquier manera.

Teletrabajo y Abogado, compatible y más si afinidad.  

Hasta hace unos meses, abogado y teletrabajo no eran dos palabras que pensáramos que debíamos asociar. Un abogado trabaja en su oficina, no importa cuán grande o pequeña sea, está en la oficina. Sin embargo, desde marzo, la crisis de Covid19 ha sacado a la luz una práctica que ya existía entre la mayoría de los abogados que, sin saberlo, teletrabajaban, a menudo llevando sus casos por la noche, los fines de semana o muy temprano por la mañana, desde su casa, sin ningún software para abogados que les ayudara.

El teletrabajo, menos limitado que en otras profesiones, empieza a atraer cada vez más abogados, empezando por los más jóvenes. Hay dos razones para este cambio, que ya era perceptible antes de marzo y más aún desde entonces: una vida personal ya muy digitalizada y un equilibrio personal/profesional más precario.

Según una encuesta realizada por nuestros equipos este verano, el 75% de los abogados planean empezar a trabajar en su bufete en los próximos meses y para el 25% de ellos más de 2 días a la semana.

Pero, quien dice trabajo a distancia, dice adaptación de sus herramientas de trabajo.

Una computadora portátil, por supuesto, pero también el uso de nuevas herramientas de comunicación e intercambio de información. Por supuesto, en este ámbito ya existen herramientas para el público en general: WhatsApp para los intercambios rápidos con los clientes, el uso de discos para grabar e intercambiar documentos, la videoconferencia para compensar la ausencia de reuniones cara a cara (Zoom, Skype, etc.).

Sí, pero ¿qué pasa con la seguridad de los datos y el cumplimiento de la RGPD en lo que respecta a estas herramientas accesibles a todos? ¿No sería una herramienta específica para los abogados más adaptada y más segura? ¿No sería más fácil de usar una sola herramienta « multitarea »? Sin mencionar el tiempo ahorrado y la mayor facilidad de organización y por lo tanto de gestión del tiempo de trabajo…

La visión de Jarvis sobre el teletrabajo

Jarvis se ha anticipado a todas estas cuestiones para apoyar mejor a la profesión y asegurarla en esta nueva forma de trabajo. Una nueva forma de trabajar desde cualquier lugar como si estuvieras en tu oficina.

¿Cómo? De la manera más simple posible gracias a sus soluciones web completas. Mejor. Ahora también puedes trabajar localmente sin conexión a Internet gracias a la caja de Jarvis. Tan pronto como encuentres una conexión, todos los datos se sincronizan con tu nube.

Por último, Jarvis es también una herramienta de videoconferencia segura para garantizar la confidencialidad de sus intercambios con sus clientes, lo que hace de su oferta un paquete completo que reúne todos los usos del trabajo a distancia en una sola herramienta.

Y porque el ser humano sigue siendo el centro de nuestras preocupaciones, más aún en estos tiempos de « desmaterialización », y porque es importante para nosotros mantener una forma de relación en el corazón de nuestro negocio y el suyo, Jarvis es también y sobre todo un equipo que permanece a su disposición para apoyarle en esta nueva transición y forma de trabajo.

Es el uso de todas sus funcionalidades en torno a un equipo a su servicio lo que hace de Jarvis un pionero de la empresa virtual.

Esta es la receta « Jarvis » para promover el equilibrio de la vida personal y profesional, para limitar los riesgos para la salud y para ahorrar tiempo y reducir la fatiga (viajes, etc…). Traducido con la versión gratuita del Traductor de DeepL.

Lawyer and telecommuting? Yes it is possible but not just anyhow!

Home-office and Lawyer, compatible and more if affinity.  

Until a few months ago, lawyer and telecommuting were not two words we thought we could associate. A lawyer works in his office, no matter how big or small, he is in the office. However, since March, the Covid crisis19 has brought to light a practice already in force among a majority of lawyers who were unknowingly teleworking, often handling their cases in the evening, on weekends or very early in the morning, from home, without any legal software to help them.

Teleworking, which is less constrained than in other professions, is now beginning to attract more and more lawyers, starting with the youngest among them. There are two reasons for this shift, which was already perceptible before March and even more so since then: a personal life that is already highly digitized; a more precarious personal/professional life balance.

According to a survey conducted by our teams this summer, 75% of the lawyers plan to start working in their firm in the coming months and for 25% of them for more than 2 days a week.

But, who says remote work, says adaptation of its work tools.

A laptop, of course, but also the use of new tools for communication and information sharing. Of course, tools for the general public already exist in this area: WhatsApp for rapid exchanges with customers, the use of drives to save and exchange documents, videoconferencing to compensate for the absence of face-to-face meetings (Zoom, Skype, etc.).

Yes, but what about data security and compliance with the RGPD regarding these tools accessible to all? Wouldn’t a tool specific to lawyers be more adapted and more secure? Wouldn’t a single « multi-tasking » tool be easier to use? Not to mention the time saved and the greater ease of organization and therefore management of working time?

The vision of telework by Jarvis Legal, legal software.

Jarvis has anticipated all of these issues in order to best support the profession and secure it in this new way of working. A new way of working from any location as if you were at your office.

How is it going to work? In the simplest way possible thanks to its full web solutions. Better. You can now also work locally without an internet connection thanks to the Jarvis box. As soon as you find a connection, all the data is synchronized with your cloud.

Finally, Jarvis is also a secure video conferencing tool to guarantee the confidentiality of your exchanges with your customers, making its offer a complete range of products and services that brings together all the uses of remote working in a single tool.

And because the human remains at the heart of our concerns, even more so in these times of « all dematerialized », and because it is important for us to maintain a form of relational relationship at the heart of our business and yours, Jarvis is also and above all a team that remains at your disposal to accompany you in this new transition and way of working.

It is the use of all of its functionalities around a team at your service that makes Jarvis a pioneer of the virtual practice.

This is the « Jarvis » recipe for promoting personal and professional life balance, for limiting health risks and for saving time and reducing fatigue (travel, etc…).

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Avocat et télétravail ? Oui c’est possible mais pas n’importe comment !

Télétravail et Avocat, compatible et plus si affinité.  

Il y a encore quelques mois, avocat et télétravail n’étaient pas deux mots que l’on pensait à associer. Un avocat travaille dans son Cabinet, petit ou grand peu importe, il est au bureau. Pourtant, depuis le mois de mars, la crise du Covid19 a mis en évidence une pratique déjà en vigueur chez une majorité d’avocats qui télétravaillaient sans le savoir en traitant leur dossier bien souvent le soir, le week-end ou très tôt le matin et ce, depuis chez eux, sans logiciel avocat pour les aider.

Le télétravail, moins contraint que dans d’autres professions, commence ainsi maintenant à recueillir une adhésion de plus en plus massive des avocats, à commencer par les plus jeunes d’entre eux. Deux raisons à ce glissement déjà  perceptible avant le mois de mars et a fortiori depuis : une vie personnelle d’une part déjà fortement digitalisée ; un équilibre vie personnelle/vie professionnelle plus précaire.

Selon un sondage réalisé par nos équipes cet été, 75 % des avocats envisagent la mise en place du travail au sein de leur cabinet dans les prochains mois et pour 25 % d’entre eux pour une durée supérieure à 2 jours par semaine.

Mais, qui dit travail à distance, dit adaptation de ses outils de travail.

Un ordinateur portable certes, mais également le recours à des nouveaux outils de communication, de partage de l’information. Bien entendu, dans ce domaine, des outils grands publics existent d’ores et déjà : WhatsApp pour des échanges rapides avec ses clients, le recours au drive pour enregistrer et échanger ses documents, la visioconférence pour pallier l’absence de réunion en « présentiel » (Zoom, Skype, etc…).

Oui mais quid de la sécurité des données et du respect du RGPD concernant ces outils accessibles à tous ? Un outil propre aux avocats ne serait-il pas plus adapté et plus sécurisant ? Un seul outil « multi-tâches » ne serait-il pas plus facile d’utilisation ? Sans parler du gain de temps et d’une plus grande facilité d’organisation et donc de gestion du temps de travail…

La vision du travail à distance par Jarvis

Jarvis a anticipé l’ensemble de ces questions pour accompagner au mieux la profession et la sécuriser dans cette nouvelle façon de travailler. Une nouvelle façon de travailler de n’importe quel endroit comme si vous étiez à votre Cabinet.

Comment ? De la façon la plus simple qu’il soit grâce à ses solutions full web. Mieux. Vous pouvez également désormais travailler en local hors connexion internet grâce à la Jarvis box. Dès que vous retrouvez une connexion, l’ensemble des données se synchronisent avec votre cloud.

Jarvis c’est enfin également un outil sécurisé de visioconférence pour garantir la confidentialité de vos échanges avec vos clients faisant ainsi de son offre une offre complète regroupant ainsi en un seul outil tous les usages du travail à distance.

Et parce que l’humain reste au cœur de nos préoccupations, voire encore plus en ces temps de « tout dématérialisé », et qu’il est pour nous important de maintenir une forme de relationnelle au cœur de notre métier et du vôtre, Jarvis, c’est aussi et avant tout une équipe qui reste à votre écoute pour vous accompagner au mieux dans cette nouvelle transition et façon de travailler.

C’est l’utilisation de l’ensemble de ses fonctionnalités autour d’une équipe à votre service qui font de Jarvis un pionnier du cabinet virtuel.

Voilà la recette « Jarvis » pour favoriser l’équilibre vie personnelle et professionnelle, pour limiter les risques sanitaires et pour un gain de temps et une fatigue en baisse (déplacements, etc…).

 

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Lasciare la collaborazione liberale e iniziare in 5 passi

Gli avvocati sono sempre più mobili nella loro carriera e ci sono oggi tanti modi diversi di esercitare quanto i profili degli avvocati. Mentre alcuni scelgono di costituirsi su base individuale, altri preferiscono optare per la creazione di una struttura con i colleghi, se non con altre professioni regolamentate (nell’ambito di una SPE). Infine, altri avvocati scelgono di fare carriera all’interno di uno studio e, possibilmente, di candidarsi per l’associazione.

Se per molto tempo il modello classico è stato quello di « fare i compiti a casa » per qualche anno in uno studio legale, la nuova generazione di avvocati che si affaccia sul mercato sembra voler emanciparsi e stabilirsi più rapidamente come avvocato. Tuttavia, è necessario porsi le giuste domande prima di procedere con l’installazione.

Anticipare l’installazione non appena si collabora

L’installazione è prevista e spesso comporta un cambiamento di stile di vita per un avvocato. Lasciare una comoda retrocessione dell’onorario è un rischio che molti avvocati temono, soprattutto se non sono stati in grado di sviluppare la loro clientela personale all’interno di uno studio.

Per superare questa paura, è necessario preparare la sua installazione fin dalla sua collaborazione. L’obiettivo deve essere quello di staccarsi gradualmente dall’immagine della propria pratica e di affermare la propria identità e le proprie competenze. Quindi, il primo passo può essere quello di creare il proprio sito web con le proprie offerte prima di stabilirsi. Questo permette di :

  • di prendersi il tempo di pensare al suo posizionamento, alle sue offerte e alla sua identità visiva prima di essere colti da vincoli economici e dalla necessità di generare rapidamente clienti ;
  • di emanciparsi dall’immagine della sua azienda e di essere visibile su google;
  • per testare il mercato e ottenere un feedback iniziale sulla sua capacità di generazione di piombo.
 

Costruisci la tua offerta e differenziati

L’arrivo sul mercato di altri attori (legaltech, commercialisti, associazioni, ecc.) richiede agli avvocati di costruire un’offerta solida e differenziata prima della costituzione. In effetti, l’avvocato non può più semplicemente « mettere giù il piatto » e proporre una classica perizia giuridica.

Formalizzate le esigenze dei vostri clienti e del vostro target e costruite un’offerta che soddisfi le loro aspettative.

Piuttosto che mettere in evidenza le competenze legali generali (aree del diritto) sul vostro sito web, cercate di confezionare i vostri servizi e risolvere i problemi delle vostre aree di intervento in base alle esigenze dei vostri clienti. Inoltre, non esitate a offrire servizi online e ad automatizzare le attività a basso valore aggiunto per risparmiare tempo ed essere competitivi sui prezzi.

Infine, uno studio legale può essere altrettanto innovativo nei servizi accessori che l’avvocato può offrire al suo cliente, ad esempio:

Mobilitare diverse leve di comunicazione

Per poter vendere i propri servizi è necessario essere identificati e identificabili sul mercato. Una strategia di comunicazione implica la mobilitazione di diversi canali per promuovere le proprie competenze.  

– Prima di tutto, un approccio minimalista consiste nel registrarsi su una piattaforma di relazione avvocato-cliente. Oggi esistono circa dieci piattaforme di questo tipo, ognuna con funzionalità specifiche. Alcune piattaforme fanno pagare l’avvocato, altre no. La registrazione su una piattaforma permette, come minimo, di essere referenziati sul web e di generare alcune chiamate. Così, l’analisi delle soluzioni esistenti sul mercato sembra essere un passo preliminare essenziale per preparare la sua installazione (in questo senso, vedi il video « Finding a (good) lawyer #1 (battle of legaltech) »).

– Poi, è necessario essere proattivi sui social network. Questi nuovi media vi permettono di creare una comunità (1), generare una base di prospettive (2) e migliorare il vostro referenziamento (3). L’obiettivo è quello di essere identificato come specialista intorno a una o più competenze. Il primo passo è quello di analizzare il comportamento del vostro target (individui, professionisti, ecc.) e di registrarsi sulle reti più rilevanti per raggiungerli. Se LinkedIn è la rete professionale prescelta, non bisogna sottovalutare la forza di altre reti come YouTube e Instagram. Un approccio proattivo al networking implica la pubblicazione regolare di contenuti, sia che si tratti di contenuti (articoli, grafica computerizzata, video) che di narrazione (ad esempio, interventi a conferenze). Pubblicate nelle « ore di punta » di ogni rete in modo che le vostre pubblicazioni abbiano il massimo impatto, e non esitate a collaborare con altri professionisti taggandosi a vicenda in ogni pubblicazione. Mostrate il vostro ecosistema e ve lo restituirà!

– Infine, non esitate a offrire contenuti gratuiti alla vostra comunità. Il tempo investito in questo approccio convaliderà la vostra esperienza e sarà un prodotto di richiamo per offrire i vostri servizi. Per avere un ritorno sull’investimento, il contenuto proposto deve essere di qualità (1), accessibile (2) e innovativo (3). Prima di tutto, il vostro contenuto deve essere motivato giuridicamente in quanto è alla base della vostra credibilità sul mercato. In secondo luogo, il contenuto deve essere educativo in modo che possa essere compreso da tutte le parti coinvolte (evitare il « nonostante » e altre espressioni giuridiche e giuridiche). Infine, proporre un formato che vada fuori dai sentieri battuti. Molti avvocati stanno esplorando nuovi formati come la computer grafica legale (Kristina Lazatian), i podcast (Elise Couintet) o anche i video di youtube (Arthur Sauzé). Questi formati saranno meglio referenziati rispetto agli articoli tradizionali. Proponi di inviare i tuoi contenuti alla tua comunità tramite una newsletter per creare un file di potenziali clienti.

Organizzarsi per lavorare in modo efficiente

Nei primi mesi di installazione, è raro avere uffici fissi e chiusi. Molti avvocati scelgono di iniziare a lavorare in spazi di coworking dedicati agli avvocati, in parte presso lo studio di un collega e in genere aumentano la quantità di viaggi. Questa mobilità richiede che l’avvocato abbia sempre accesso ai suoi file e documenti, proteggendo al contempo i dati dei suoi clienti. Pertanto, una soluzione cloud privata con replica locale è ideale per essere autonoma, mobile, perfettamente sicura e non dipendente da Internet.

Inoltre, l’automazione di una serie di compiti a basso valore aggiunto (ad es. la fatturazione) consente di risparmiare una notevole quantità di tempo nella gestione dei casi.

Genera clienti e traccia i tuoi record

La generazione di clientela e di fatturato è spesso dolorosa per un avvocato che si mette in proprio perché questa dimensione commerciale non era prevista all’Università e all’EFB.

Il primo passo, una volta definito il vostro posizionamento e stabilito il vostro business plan, è fare affidamento sulla vostra rete. I vostri rapporti personali e professionali sono il vostro primo supporto e conoscono molte potenziali prospettive. Aiutateli, informateli, spiegate loro cosa proponete.

Inoltre, una soluzione semplice per generare la clientela è l’esternalizzazione dei file. In effetti, le piccole strutture consolidate si trovano spesso a dover affrontare un sovraccarico di pratiche e sono alla ricerca di giovani colleghi a cui subappaltare le pratiche. Il subappalto è un modo per mantenere un livello minimo di remunerazione, pur beneficiando della flessibilità dell’impianto. Una soluzione di questo tipo permette di limitare la noiosa fase di prospezione e di avere pochi clienti direttamente.

Soprattutto, avere una visione a 360 gradi delle vostre prospettive e adottare una strategia di vendita organizzata. Registrate tutti i vostri potenziali clienti, comunicate le vostre offerte e non esitate a rilanciarle.  L’utilizzo di soluzioni SaaS per lo sviluppo del business (ad es. Nomination) consente di identificare le opportunità di contatto con i potenziali clienti che sono importanti per voi e di avviare la relazione. Una volta che i vostri primi potenziali clienti sono stati convertiti in clienti, seguiteli e ricontrollateli frequentemente per identificare nuove esigenze.

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Dejando la colaboración liberal y comenzando en 5 pasos

Los abogados tienen cada vez más movilidad en sus carreras y ahora hay tantas formas diferentes de ejercer como perfiles de abogados. Mientras que algunos optan por establecerse de forma individual, otros prefieren optar por la creación de una estructura con colegas, si no con otras profesiones reguladas (en el marco de una SPE). Por último, otros abogados optan por hacer carrera en un bufete y, posiblemente, solicitar la asociación.

Si durante mucho tiempo el patrón clásico fue « hacer los deberes » durante unos años en un bufete de abogados, la nueva generación de abogados que sale al mercado parece querer emanciparse y establecerse como abogado más rápidamente. Sin embargo, es necesario hacerse las preguntas correctas antes de proceder a la instalación.

Anticipe su instalación tan pronto como colabore

La instalación se anticipa y a menudo implica un cambio en el estilo de vida de un abogado. Dejar una cómoda retrocesión de honorarios es un riesgo que muchos abogados temen, especialmente si no han podido desarrollar su clientela personal dentro de un bufete.

Para superar este temor, es necesario preparar su instalación desde su colaboración. El objetivo debe ser desprenderse gradualmente de la imagen de la propia práctica y afirmar la propia identidad y competencias. Por lo tanto, el primer paso puede ser crear su propio sitio web con sus propias ofertas antes de instalarse. Esto permite..:

  • tomar el tiempo necesario para pensar en su posicionamiento, sus ofertas y su identidad visual antes de verse atrapado por las limitaciones económicas y la necesidad de generar clientes rápidamente ;
  • para emanciparse de la imagen de su empresa y ser visible en Google;
  • para probar el mercado y obtener una retroalimentación inicial sobre su capacidad de generación de plomo.
 

Construye tu oferta y diferénciate

La llegada al mercado de otros actores (técnicos jurídicos, censores de cuentas, asociaciones, etc.) requiere que los abogados construyan una oferta sólida y diferenciadora antes de establecerse. De hecho, el abogado ya no puede simplemente « bajar su plato » y presentar una clásica pericia legal.

Formalice las necesidades de sus clientes y su objetivo y construya una oferta que cumpla con sus expectativas.

En lugar de destacar los conocimientos jurídicos generales (áreas de la ley) en su sitio web, trate de empaquetar sus servicios y problematizar sus áreas de intervención de acuerdo con las necesidades de sus clientes. Además, no dude en ofrecer servicios en línea y automatizar tareas de bajo valor añadido para ahorrar tiempo y ser competitivos en los precios.

Por último, un bufete de abogados puede ser tan innovador en los servicios auxiliares que el abogado puede ofrecer a su cliente, por ejemplo:

Movilizar diferentes palancas de comunicación

Para vender sus servicios es necesario ser identificado e identificable en el mercado. Una estrategia de comunicación implica la movilización de diferentes canales para promover sus conocimientos especializados.  

– En primer lugar, un enfoque minimalista consiste en registrarse en una plataforma de relación abogado-cliente. Hoy en día, hay unas diez plataformas de este tipo, cada una con funcionalidades específicas. Algunas plataformas cobran al abogado, otras no. Registrarse en una plataforma permite, como mínimo, ser referenciado en la web y generar algunas llamadas. Así pues, el análisis de las soluciones existentes en el mercado parece ser un paso preliminar esencial para preparar su instalación (en este sentido, véase el vídeo « Encontrar un (buen) abogado #1 (batalla de legaltech) »).

– Entonces, es necesario ser proactivo en las redes sociales. Estos nuevos medios permiten crear una comunidad (1), generar una base de prospectos (2) y mejorar su referencia (3). El objetivo es ser identificado como un especialista en torno a uno o varios peritajes. El primer paso es analizar el comportamiento de su objetivo (individuos, profesionales, etc.) y registrarse en las redes más relevantes para llegar a ellos. Si LinkedIn es la red profesional elegida, no hay que subestimar la fuerza de otras redes como YouTube e Instagram. Un enfoque proactivo de la creación de redes supone la publicación periódica de contenidos, ya sea de contenido (artículos, gráficos informáticos, vídeos) o de narración de cuentos (hablar en conferencias, por ejemplo). Publica en « horas punta » en cada red para que tus publicaciones tengan el mayor impacto, y no dudes en colaborar con otros profesionales etiquetando a cada uno en cada publicación. ¡Muestra tu ecosistema y te lo devolverá!

– Por último, no dude en ofrecer contenido gratuito a su comunidad. El tiempo invertido en este enfoque validará su experiencia y será un producto de llamada para ofrecer sus servicios. Para que la inversión sea rentable, el contenido propuesto debe ser de calidad (1), accesible (2) e innovador (3). En primer lugar, su contenido debe estar legalmente fundamentado ya que es la base de su credibilidad en el mercado. En segundo lugar, el contenido debe ser educativo, de modo que pueda ser comprendido por todas las partes involucradas (evitar el « no obstante » y otras expresiones legales y jurídicas). Finalmente, proponga un formato que se salga del camino establecido. Muchos abogados están explorando nuevos formatos como los gráficos de diseño legal por ordenador (Kristina Lazatian), podcasts (Elise Couintet) o incluso videos de youtube (Arthur Sauzé). Estos formatos estarán mejor referenciados que los artículos tradicionales. Proponga enviar su contenido a su comunidad a través de un boletín de noticias para crear un archivo de prospectos.

Organizarse para trabajar de manera eficiente

En los primeros meses de instalación, es raro tener oficinas fijas y cerradas. Muchos abogados optan por empezar a trabajar en espacios de trabajo dedicados a los abogados, en parte en el despacho de un colega y, en general, aumentan la cantidad de viajes. Esta movilidad requiere que el abogado tenga acceso a sus archivos y documentos en todo momento, protegiendo los datos de sus clientes. Así pues, una solución de nube privada con réplica local es ideal para ser autónoma, móvil, perfectamente segura y no dependiente de la Internet.

Además, la automatización de una serie de tareas de escaso valor añadido (por ejemplo, la facturación) ahorra una cantidad considerable de tiempo en la gestión de los casos.

Generar clientes y hacer un seguimiento de sus registros

Generar clientela y volumen de negocios es a menudo doloroso para un abogado que se establece porque esta dimensión comercial no estaba prevista en la Universidad y la EFB.

El primer paso, una vez que haya definido su posicionamiento y establecido su plan de negocios, es confiar en su red. Sus relaciones personales y profesionales son su primer apoyo y conoce muchas perspectivas potenciales. Ayúdelos, infórmeles, explíqueles lo que está proponiendo.

Además, una solución sencilla para generar clientela es subcontratar los archivos. De hecho, las pequeñas estructuras establecidas se enfrentan a menudo a una sobrecarga de archivos y buscan colegas jóvenes a los que subcontratar los archivos. La subcontratación es una forma de mantener un nivel mínimo de remuneración, al tiempo que se beneficia de la flexibilidad de la instalación. Esta solución permite limitar la tediosa fase de prospección y tener unos pocos clientes directamente.

Sobre todo, tenga una visión de 360 grados de sus prospectos y adopte una estrategia de ventas organizada. Registre todos sus prospectos, comunique sus ofertas y no dude en relanzarlos.  El uso de soluciones de desarrollo de negocios SaaS (por ejemplo, Nominación) le permite identificar oportunidades de contacto con prospectos que son importantes para usted y entablar la relación. Una vez que sus primeros prospectos se han convertido en clientes, hágales un seguimiento y compruébelo con frecuencia para identificar nuevas necesidades.

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Quitter la collaboration libérale et s’installer en 5 étapes

L’avocat est de plus en plus mobile dans sa carrière et il existe aujourd’hui autant de modes d’exercices qu’il y a de profils d’avocats. Si certains font le choix de l’installation à titre individuel, d’autres préfèrent opter pour la création d’une structure avec des confrères, si ce n’est avec d’autres professions réglementées (dans le cadre d’une SPE). Enfin d’autres avocats choisissent de faire carrière au sein d’un cabinet et, éventuellement, de prétendre à l’association.

Si pendant très longtemps, le schéma classique était de « faire ses classes » pendant quelques années dans un cabinet, la nouvelle génération d’avocats qui arrive sur le marché semble vouloir s’émanciper et s’installer comme avocat plus rapidement. Il est toutefois nécessaire de se poser les bonnes questions avant de procéder à l’installation.

Anticipez votre installation dès votre collaboration

L’installation s’anticipe et implique souvent un changement de mode de vie pour un avocat. Quitter sa rétrocession d’honoraires confortable est un risque que beaucoup d’avocats craignent, surtout s’ils n’ont pas pu développer leur clientèle personnelle au sein d’un cabinet.

Afin de palier cette crainte, il est nécessaire de préparer son installation depuis sa collaboration. L’objectif doit être de se détacher petit à petit de l’image de son cabinet et de faire valoir une identité propre et des compétences propres. Ainsi, la première étape peut être de se créer une site internet propre avec des offres propres avant de s’installer. Cela permet :

  • de prendre le temps de réfléchir à son positionnement, ses offres et son identité visuelle avant d’être pris par des contraintes économiques et la nécessité de générer rapidement de la clientèle ;
  • de s’émanciper de l’image de son cabinet et d’être visible sur google ;
  • de tester de le marché et d’avoir un premier retour sur sa capacité à générer du lead.
 

Bâtissez votre offre et différenciez-vous

L’arrivée sur le marché d’autres acteurs (legaltech, experts comptables, associations, etc.) imposent aux avocats de bâtir une offre solide et différenciante avant de s’installer. En effet, l’avocat ne peut plus se contenter de « poser sa plaque » et mettre en avant une expertise juridique classique.

Formalisez les besoins de vos clients et de votre cible et bâtissez une offre qui répond à leurs attentes.

Plutôt que de mettre en avant sur votre site internet des expertises juridiques générales (domaines du droit), essayez de packager vos prestations et problématisez vos domaines d’intervention en fonction des besoins de vos clients. Aussi, n’hésitez pas à proposer des prestations en ligne et automatiser des tâches à faible valeur ajoutée afin de gagner du temps et être compétitif sur les prix.

Enfin, un cabinet peut être aussi innovant par les services annexes que l’avocat peut proposer à son client, par exemple :

Mobilisez différents leviers de communication

Afin de vendre ses prestations, il est nécessaire d’être identifié et identifiable sur le marché. Une stratégie de communication implique de mobiliser différents canaux afin de faire valoir son expertise.  

– Tout d’abord, une approche minimaliste consiste à s’inscrire sur une plateforme de mise en relation avocats-clients. Il existe aujourd’hui une dizaine de plateformes de mise en relation, chacune comportant des fonctionnalités spécifiques. Certaines plateformes font payer l’avocat, d’autres non. L’inscription sur une plateforme permet, à minima, d’être référencé sur web et de générer quelques calls. Ainsi, l’analyse des solutions existantes sur le marché semble être une étape préalable indispensable afin de préparer son installation (en ce sens, voir la vidéo « Trouver un (bon) avocat #1 (battle des legaltech)»).

 

– Puis, il est nécessaire d’avoir une démarche proactive sur les réseaux sociaux. Ces nouveaux médias vous permettent de vous créer une communauté (1), de générer une base de prospects (2) et d’améliorer votre référencement (3). L’objectif est d’être identifié en tant que spécialiste autour d’une ou plusieurs expertises. La première étape consiste à analyser le comportement de sa cible (individuels, professionnels, etc.) et de s’inscrire sur les réseaux les plus pertinents afin de les toucher. Si LinkedIn est le réseau professionnel de prédilection, il ne faut pas sous-estimer la force d’autres réseaux comme YouTube et Instagram. Une démarche proactive sur les réseaux implique de publier du contenu très régulièrement, que ce soit du fond (articles, infographies, vidéos) ou du storytelling (intervention à des conférences notamment). Publiez aux « heures de pointes » dans chaque réseau afin que vos publications aient le plus d’impact et n’hésitez pas à collaborer avec d’autres professionnels en vous taguant mutuellement dans chaque publication. Mettez en avant votre écosystème et il vous le rendra !

– Enfin, il ne faut pas hésiter à offrir du contenu gratuit à votre communauté. Le temps investi dans cette démarche permettra de valider votre expertise et sera un produit d’appel afin de proposer vos services. Afin d’avoir un retour sur investissement, le contenu proposé doit être de qualité (1), accessible (2) et innovant (3). Tout d’abord, votre contenu doit être juridiquement étayé car il s’agit de la base de votre crédibilité sur le marché. Par ailleurs, le contenu doit être pédagogique afin d’être compris par tous les justiciables (évitez les « nonobstant » et autres tournures juridico juridique). Enfin, proposez un format qui sort des sentiers battus. De nombreux avocats explorent de nouveaux formats tels que les infographies legal design (Kristina Lazatian), des Podcast (Elise Couintet) ou même les vidéos youtube (Arthur Sauzé). Ces formats seront mieux référencés que des articles traditionnels. Proposez d’envoyer à votre communauté votre contenu via une newsletter afin de vous constituer un fichier de prospects.

Organisez-vous afin de travailler efficacement

Dans les premiers mois de l’installation, il est rare d’avoir des bureaux fixes et fermés. Beaucoup d’avocats font le choix de commencer à travailler dans des espaces de coworking dédiés aux avocats, partiellement chez un confrère et généralement multiplient les déplacements. Cette mobilité impose à l’avocat d’avoir tout le temps sur lui accès à ses dossiers et ses pièces tout en protégeant les données de ses clients. Ainsi, une solution cloud privée avec réplication locale est idéale pour être autonome, mobile, parfaitement sécurisé et non-dépendant d’Internet.

Par ailleurs, l’automatisation d’un certain nombre de tâches à faible valeur ajoutée (facturation par exemple) permet de gagner un temps considérable dans la gestion des dossiers.

Générez de la clientèle et suivez vos dossiers

Générer de la clientèle et du chiffre d’affaires est souvent douloureux un avocat qui s’installe car cette dimension commerciale n’a pas été envisagée à l’Université et à l’EFB.

La première démarche, une fois défini son positionnement et établi son plan d’affaires, est de s’appuyer sur son réseau. Vos relations personnelles et professionnelles sont vos premiers soutiens et connaissent de nombreux prospects potentiels. Aidez-les, informez-les, expliquez-leurs ce que vous proposez.

Aussi, une solution simple afin de générer de la clientèle est de recourir à la sous-traitance de dossiers. En effet, les petites structures installées font souvent face à une surcharge de dossiers et cherchent des jeunes confrères à qui sous-traiter des dossiers. Recourir à la sous-traitance est une manière de maintenir un niveau minimum de rémunération, tout en bénéficiant de la flexibilité de l’installation. Une telle solution permet de limiter la phase fastidieuse de prospection et d’avoir directement quelques clients.

Surtout, ayez une vision à 360 degrés de vos prospects et adoptez une stratégie commerciale organisée. Enregistrez tous vos prospects, communiquez vos offres et n’hésitez pas à les relancer.  L’utilisation des solutions SaaS de business development (par exemple, Nomination) permet d’identifier les opportunités de contact avec les prospects qui vous importent et d’engager la relation. Une fois vos premiers prospects convertis en clients, suivez-les et prenez des nouvelles fréquemment afin d’identifier de nouveaux besoins.

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Leaving the Liberal collaboration and settling down in 5 steps

The lawyer is increasingly mobile in his career and there are now as many practice methods as there are profiles of lawyers. While some choose to install individually, others prefer to create a structure with colleagues, if not with other regulated professions (as part of an EPS). Finally, other lawyers choose to pursue a career in a firm and, eventually, to claim the association.

If for a very long time the classic scheme was to « do his classes » for a few years in a firm, the new generation of lawyers who arrive on the market seems to want to emancipate themselves and settle down as a lawyer more quickly. However, it is necessary to ask the right questions before installing.

Anticipate your installation as soon as you collaborate

The installation anticipates and often involves a lifestyle change for a lawyer. Leaving a comfortable fee transfer is a risk that many lawyers fear, especially if they have not been able to develop their personal clientele within a firm.

In order to overcome this fear, it is necessary to prepare its installation since its collaboration. The aim must be to gradually detach oneself from the image of his firm and to assert his own identity and skills. Thus, the first step may be to create a clean website with own offers before settling down. This allows:

Build your offer and differentiate yourself

The arrival on the market of other players (legaltech, accounting experts, associations, etc.) requires lawyers to build a solid and differentiated offer before settling down. Indeed, the lawyer can no longer simply « lay down his plate » and put forward a classic legal expertise.

Formalize the needs of your customers and your target and build an offer that meets their expectations.

Instead of highlighting general legal expertise on your website (areas of law), try to package your services and problematize your areas of intervention according to the needs of your clients. Also, don’t hesitate to offer online services and automate low-value-added tasks in order to save time and be price competitive.

Finally, a firm can be as innovative in the ancillary services that the lawyer can offer to his client, for example:

Mobilize different communication levers

In order to sell its services, it is necessary to be identified and identifiable in the market. A communication strategy involves mobilizing different channels to showcase its expertise.  

– First of all, a minimalist approach is to register on a platform for connecting lawyers and clients. There are now about ten linking platforms, each with specific features. Some platforms charge the lawyer, others do not. Registration on a platform allows, at a minimum, to be referenced on the web and generate a few calls. Thus, the analysis of existing solutions on the market seems to be an indispensable first step in preparing its installation (in this sense, see the video « Find a (good) lawyer #1 (battle of legaltech) »).

– Then, it is necessary to have a proactive approach on social networks. These new media allow you to create a community (1), generate a lead base (2) and improve your SEO (3). The goal is to be identified as a specialist around one or more expertises. The first step is to analyze the behavior of its target (individuals, professionals, etc.) and register on the most relevant networks in order to reach them. If LinkedIn is the professional network of choice, we should not underestimate the strength of other networks like YouTube and Instagram. A proactive approach on networks involves publishing content very regularly, whether from the background (articles, infographics, videos) or storytelling (intervention at conferences in particular). Post at « peak times » in each network so that your publications have the most impact and feel free to collaborate with other professionals by tagging each other in each publication. Highlight your ecosystem and it will return it to you!

– Finally, don’t hesitate to offer free content to your community. The time invested in this process will validate your expertise and will be a product of appeal in order to offer your services. In order to have a return on investment, the proposed content must be quality (1), accessible (2) and innovative (3). First of all, your content must be legally supported because it is the basis of your credibility in the market. In addition, the content must be educational in order to be understood by all litigants (avoid « notwithstanding » and other legal legal turns). Finally, offer a format that goes off the beaten track. Many lawyers are exploring new formats such as legal design infographics (Kristina Lazatian), Podcasts (Elise Couintet) or even youtube videos (Arthur Sauzé). These formats will be better referenced than traditional articles. Offer to send your content to your community via a newsletter to build up a lead file.

Organize to work effectively

In the first months of installation, it is rare to have fixed and closed offices. Many lawyers choose to start working in coworking spaces dedicated to lawyers, partly with a colleague and generally multiply the trips. This mobility requires the lawyer to have access to his files and documents all the time while protecting his clients’ data. Thus, a private cloud solution with local replication is ideal for being autonomous, mobile, perfectly secure and non-internet dependent.

In addition, automating a number of low-value-added tasks (for example, billing) saves a considerable amount of time in case management.

Build customers and follow your matters

Generating customers and turnover is often painful a lawyer who settles down because this commercial dimension has not been envisaged at the University and the EFB.

The first step, once defined its positioning and established its business plan, is to rely on its network. Your personal and professional relationships are your first support and know many potential prospects. Help them, inform them, explain to them what you are proposing.

Also, a simple solution to generate customers is to outsource files. In fact, small structures often face an overload of files and are looking for young colleagues to outsource files. Outsourcing is a way to maintain a minimum level of remuneration, while benefiting from the flexibility of the installation. Such a solution limits the tedious phase of prospecting and directly has a few customers.

Above all, have a 360-degree view of your prospects and adopt an organized business strategy. Register all your prospects, communicate your offers and don’t hesitate to relaunch them.  Using SaaS business development solutions (e.g., Nomination) helps identify opportunities to connect with prospects that matter to you and engage the relationship. Once your first leads are converted into customers, follow them and catch up frequently to identify new needs.

avocat digitalisant son cabinet

La crise des avocats : levier de digitalisation des cabinets ?

Une crise nécessaire à l’évolution de la profession. 

Ou numérisation, au choix. Le terme ne change pas le fond de cet article. Diminution du monopole du conseil juridique, concurrence des experts-comptables, grève et Covid-19, les avocats font aujourd’hui face à la plus difficile crise que la profession ait connue. Le constat peut sembler dramatique, notamment au regard des 28% d’avocats qui envisagent de quitter la profession dans les prochains mois. Mais. 

Mais comme dans toute crise, un mécanisme de défense se met en place: l’innovation. Les guerres et les évolutions technologiques inhérentes en sont les meilleurs exemples. Il est nécessaire d’évoluer, de se réinventer, pour ne pas subir les mêmes conséquences. 

Si les avocats ne sont pas les cancres de l’innovation dans le monde du Droit, ils n’en sont pas non plus le moteur. Les notaires, avec une communication moderne et efficace, désacralise (un peu) ce monde austère. Les experts-comptables, bien organisés par leur Ordre, ont su grignoter des parts de marché aux avocats. Enfin, les legaltechs, nouvelles arrivantes de ce marché gigantesque en France (31,1 milliards d’euros), qui bousculent par la digitalisation d’une profession profondément ancrée dans les relations humaines. Mais qui dit humaine ne dit pas forcement physique. Et c’est là l’enjeu de demain. 

Non et heureusement. Les technologies sont aujourd’hui accessibles et la trésorerie reste primordiale, notamment pour survivre en période de crise. 

 

Le web: 1er levier à activer

Un site vitrine : Entre 15€ (avec Wix) et 2500€ pour un site vraiment abouti. Ne dépensez pas 4 ou 5000 euros, sauf pour des besoins très spécifiques.

« Oui, mais ça ne va pas suffire pour développer ma clientèle ou passer le cap de l’innovation »

C’est vrai. Mais c’est un pré-requis indispensable. C’est par là que vos futurs clients vont entrer, c’est sur ce site que vous allez proposer de nouveaux services innovants, c’est sur ce site que vous allez bâtir la relation de confiance qui fera la différence avec les autres avocats.

Viennent alors les notions de référencement naturel, notation, acquisition, trafic etc. Nous aborderons ces points dans un futur dossier. 

L’évangélisation des services juridiques en ligne

Si les Captain Contrat, LegalPlace, Call a Lawyer vous semblent à des années lumières en termes d’innovation technologique, vous avez raison. Vous ne pourrez pas les rattraper, sauf à disposer de quelques centaines de milliers d’euros à dépenser en développement et marketing. Mais la partie n’est pas pour autant perdue, au contraire. Ce sont eux qui assurent les efforts financiers et marketing pour faire comprendre aux justiciables que l’Avocat n’est plus seulement physique et qu’un même niveau de services peut-être délivré sur internet.

Innover sans inventer

L’innovation n’est pas forcément synonyme d’invention. Ce n’est pas parce que vous n’êtes pas technophile ou que votre idée ne vous semble pas révolutionnaire que vous ne pouvez pas innover. Nous parlons alors d’innovation d’usage. Le COVID-19 a bouleversé la vie de tous les Français. Les habitudes ont changé, il faut maintenant y répondre. Comment ? En adaptant ses services aux nouvelles attentes de vos clients.

Se servir de l’existant, se libérer des tâches chronophages avec un logiciel avocat et maximiser sa valeur ajoutée.

40h/mois, c’est une moyenne, mais c’est le temps que vous passez sur des tâches récurrentes, à faible valeur ajoutée : Mettre en forme une facture, rédiger une assignation, récupérer les informations auprès de votre client.

30%. C’est le montant de vos honoraires qui sont dans la nature. Par laxisme ou manque de temps. Les relances et le recouvrement sont des tâches ingrates et encore une fois chronophage.

C’est là qu’entre en jeu les logiciels métiers et legaltech existantes.

 

Se libérer des tâches chronophages : Un logiciel avocat

Jarvis Legal : De l’automatisation des rédactions à la facturation, en passant par le suivi des temps, le drive, la visioconférence, les reporting d’activité et les relances. Nous vous proposons une suite d’outils en permanente évolution pour vous permettre d’accélérer votre cabinet, sans passer par de lourds investissements matériels ou de développement.

Ainsi si vous souhaitez commencer par digitaliser votre relation client, c’est un très bon début. Nous mettons à votre disposition :

  • un portail client sécurisé, sur lequel vous allez pouvoir communiquer, échanger facilement des pièces.
  • Une solution de visioconférence 100% cryptée, sécurisée et hébergée en France
  • L’intégralité de notre pool de prestataires externes, pour vous aider dans votre digitalisation.

Nous accompagnons les avocats dans leurs projets de digitalisation et écoutons toutes vos idées. Nos API’s peuvent être connectées à vos projets, alors n’hésitez pas à nous solliciter.

 

Développer sa clientèle

Call a Lawyer : Créée par des avocats, première legaltech avocate à lever des fonds, Call a lawyer vous propose de répondre aux questions de justiciables par téléphone. L’appel est rémunéré, mais il s’agit surtout d’un premier contact avec le client. Si la question appelle l’ouverture d’un dossier, à vous de jouer.

monpostulant.fr :  Un outil simple créé par des avocats, pour les avocats et lauréat du Prix de l’Innovation du barreau de Paris. L’outil vous permet de trouver en 3 clics un postulant / vacataire partout en France ou à l’inverse d’être référencé gratuitement pour effectuer des missions pour des confrères. 

La Fabrique Juridique / Votreruptureconventionnelle.com : Créée également par des avocates (le féminin à son importance), c’est la première plateforme à digitaliser le droit social. Vous êtes rémunéré pour les actes qui sont commandés sur le site et que vous rédigez. La plateforme développe surtout la sous-traitance pour des cabinets qui souhaitent développer de nouvelles branches d’activités sans recruter.