5 questions à se poser pour choisir son logiciel juridique

Il est impossible d’organiser son cabinet d’avocat ou son activité libérale sans s’appuyer sur un logiciel juridique. Cependant, à l’heure du choix, comment sélectionner l’outil qui va le mieux correspondre à ses besoins d’aujourd’hui, et de demain ? 5 questions à vous poser afin de prendre une décision pertinente…

Prendre spécifiquement un logiciel juridique

Beaucoup de logiciels proposent des fonctionnalités de saisie des temps, de gestion de fichiers ou de CRM. Mais seuls les logiciels exclusivement juridiques sont pensés pour l’organisation particulière des métiers du droit et des avocats. Il est important donc de s’assurer que votre logiciel s’adresse spécifiquement aux avocats et pas à toutes les professions.

S’intéresser aux fonctionnalités

Bien que le sujet soit complexe, vous devez en tant qu’avocat et entrepreneur, vérifier que la solution dont vous souhaitez équiper votre cabinet correspond à vos habitudes de travail.

Les fonctionnalités de saisie des temps et de facturation sont essentielles. Qu’en est-il de la gestion des dossiers ? de l’édition de documents ? Peut-on partager ses informations internes ? et avec les clients ou les parties adverses ? Y a-t-il un CRM ? Autant de questions qui doivent être posées et autant de réponses qui doivent être analysées afin de faire le bon choix.

Vérifier la qualité du service de relation client

Une fois votre solution achetée/souscrite, vous allez l’utiliser tous les jours. Vérifiez que votre fournisseur de solution vous accompagnera et comment. L’accompagnement client au début de l’abonnement, des webinars fréquents, un accès facile et réactif aux équipes support sont autant de sujets décisifs pour que votre expérience avec votre nouveau logiciel juridique soit concluant.

L’image de marque du fournisseur n’est pas forcément une garantie suffisante : les opérateurs de téléphonie mobile ou d’accès Internet sont des exemples courants de grandes sociétés incapables de délivrer un service d’accompagnement satisfaisant.

Posez des questions, demandez quels outils sont déployés au quotidien pour les utilisateurs : vous prendrez une décision d’achat plus rassurante dans la durée.

Solution hébergée ou solution locale ?  

Les logiciels installés en local, sur votre ordinateur ou votre serveur, souffrent de plusieurs inconvénients. D’abord, ils sont onéreux car nécessitant un maintien informatique constant. Les mises à jour sont aussi plus longues et plus compliquées. Elles passent par une installation via un CD ou un DVD. Elles sont généralement payantes. Enfin, les solutions installées localement sont exposées aux attaques informatiques (virus, ransomwares).

Nous conseillons donc de privilégier des solutions hébergées et idéalement en cloud privé. En effet, installer votre logiciel sur un serveur hébergé vous oblige tout de même à sécuriser votre infrastructure et complique l’utilisation au quotidien. Un cloud privé comme en propose Jarvis Legal est la meilleure sécurité pour vos données et propose un usage ergonomique.

Regarder le coût complet tout au long de la durée d’utilisation

Certaines solutions peuvent sembler moins chères car proposant une mensualité plus basse. Par exemple, beaucoup de coûts ne sont pas dans les mensualités : coût de migration, d’installation, de paramétrage, de formation (obligatoire ou pas ) ? Ensuite, le périmètre inclut dans le prix peut changer entre les concurrents, certains intégrant des options que d’autres n’incluent pas.

C’est donc le coût complet sur 3 ans qui permet véritablement de comparer les logiciels juridiques entre eux. Et là, généralement, les offres les moins chères ne sont plus celles que l’on croit… C’est le cas pour Jarvis Legal qui propose des coûts d’entrée faibles et une mensualité variable entre 29 et 86 € par mois. Ainsi, le coût complet pour le cabinet est généralement inférieur à la concurrence.